Auteur : Max Beerbohm
Titre original : Zuleika Dobson
Traduction : Philippe Néel, révisée par Anne-Sylvie Homassel
Illustrations : George Him
Edition : Monsieur Toussaint Louverture
Parution : 2010
Nombre de pages : 347
Prix : 16,75 euros
Quatrième de couverture
Attirante, séduisante, fascinante… la jeune Zuleika Dobson l’est sans aucune limite. Prestidigitatrice de renommée mondiale, elle parle comme un écrivain fin de siècle et traîne, en vraie femme fatale, autant de bagages que de prétendants. Lorsqu’elle peut enfin rendre visite à son grand-père, recteur d’Oxford, tous les étudiants tombent inévitablement à ses pieds. Malheureusement pour eux, elle ne pourra aimer qu’un homme totalement imperméable à ses charmes…Si bien que tous décident — par dandysme, par amour ou encore par bêtise —, en une macabre contagion, de mourir pour elle.
Histoire d’amour, de suicide collectif et de régates nautiques, cette fantaisie raffinée, magnifiquement écrite, emporte la rigide Oxford et ses acteurs — jeunes hommes transis d’amour, fantômes en colère, dieux calculateurs et statues inquiètes — dans un tourbillon d’extravagances.
Mon avis
J'ai reçu ce roman gracieusement dans le cadre d'un partenariat entre Blog-O-Book et les éditions Monsieur Toussaint Louverture.
Dès que j'ai déballé le livre, j'ai été séduite par l'objet. Ce livre est vraiment beau. L'illustration de couverture est très réussie, de même que celles qui se trouvent à l'intérieur du livre. L'aspect extérieur donne tout de suite envie de commencer la lecture.
J'ai beaucoup aimé l'humour, l'ironie, le cynisme présents tout au long du récit. Nous suivons les caprices de Zuleika, les réflexions philosophiques du Duc (mourir ou ne pas mourir par amour)... Les protagonistes sont extravagants à souhait. Ce récit est très original.
Cependant, j'ai trouvé ce roman trop long. Cette impression est peut être due au fait qu'une très grande partie de l'histoire est dévoilée dans la quatrième de couverture. J'aurais apprécié un peu plus de suspence. Et même si j'ai aimé ce roman, je me serai volontiers contentée de 250 pages.
Je remercie Blog-O-Book et les éditions Monsieur Toussaint Louverture pour cette découverte.
Dès que j'ai déballé le livre, j'ai été séduite par l'objet. Ce livre est vraiment beau. L'illustration de couverture est très réussie, de même que celles qui se trouvent à l'intérieur du livre. L'aspect extérieur donne tout de suite envie de commencer la lecture.
J'ai beaucoup aimé l'humour, l'ironie, le cynisme présents tout au long du récit. Nous suivons les caprices de Zuleika, les réflexions philosophiques du Duc (mourir ou ne pas mourir par amour)... Les protagonistes sont extravagants à souhait. Ce récit est très original.
Cependant, j'ai trouvé ce roman trop long. Cette impression est peut être due au fait qu'une très grande partie de l'histoire est dévoilée dans la quatrième de couverture. J'aurais apprécié un peu plus de suspence. Et même si j'ai aimé ce roman, je me serai volontiers contentée de 250 pages.
Je remercie Blog-O-Book et les éditions Monsieur Toussaint Louverture pour cette découverte.
"Ce n'est pas au nom d'une imperfection réelle ou supposée de ma personne que Miss Dobson me dédaigne. Elle me repousse simplement parce que je l'aime. Tous ceux qui l'aiment, elle les méprise. Or, la voir, c'est l'aimer."
3 commentaires:
Je suis tout à fait d'accord :-)
C'est dommage, ces 4° qui dévoilent trop ! après, on passe la moitié su roman a se demander où est le passage donné...
Je n'avais jamais croisé ce livre, merci de l'avoir présenté. Biz, nanet
Je l'ai également lu en partenariat avec BOB, et la 4ème de couv' gâche pas mal l'installation de l'intrigue. Et assez d'accord aussi sur le fait qu'il soit un peu long, j'en garde un souvenir mitigé.
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