Titre original : Once Bitten Twice Shy - A Jaz Parks Novel
Traducteur : Jean-Noël Chatain
Edition : Milady (Bragelonne)
Parution : 2008
Nombre de pages : 442
ISBN : 978-2-8112-0024-4
Prix : 8 euros
Quatrième de couverture :
Je m'appelle Jaz Parks. Mon patron, Vayl, est né en 1744 en Roumanie, où il est... mort. Entre les mains de son épouse, qui plus est. Une vampire. Mais c'est de l'histoire ancienne. Pour l'heure, Vayl travaille à la CIA, où il exerce son plus grand talent... celui d'assassin. Moi? Je l'aide. Evitez de me traiter d'assistante, ou je vous en colle une. Vayl et moi devons éliminer un chirurgien esthétique de Miami lié au terrorisme. Mais notre mission se complique lorsqu'on découvre qu'il est de mèche avec un salopard aux pouvoirs surnaturels capables de mettre l'Amérique à genoux...
Mon avis :
Ce livre trainait dans ma bibliothèque depuis presque un an. Je l'avais ouvert, lu quelques pages, puis je l'avais laissé de coté. Je l'ai ressorti pour une lecture commune et cette fois ci je l'ai terminé.
Pendant l'été, je n'ai pas du tout lu de bit-lit et ca me manquait un peu. Je crois que depuis que je me suis mise à ce genre, je ne suis pas restée un mois sans en lire. Malheureusement, Jaz Parks m'a déçue.
Il y a de l'action, beaucoup d'action tout au long du roman, ce que j'ai apprécié. Le problème c'est, qu'à part ca, peu de choses ont retenu mon attention.
L'histoire était pas mal. Des créatures surnaturelles, des enquêtes, de l'espionnage, des gadgets... tout ca aurait pu me plaire, mais ce ne fut pas le cas, l'intrigue ne m'a vraiment pas passionnée.
Parlons maintenant des personnages. Quand je lis de la bit-lit, en général j'accroche grace à un mâle charismatique : Samuel (et pas Adam !) dans Mercy Thompson, Edward dans Anita Blake, Eric dans La Communauté du Sud, Clay dans Femmes de l'Autremonde ... vous voyez de quoi je veux parler les filles. Mais ici, Vayl ne m'a pas plu du tout, Bergman non plus. A la limite il y a Cole qui n'est pas trop mal, mais pas assez pour m'aider à rentrer dans l'histoire. J'espère le retrouver dans le tome suivant.
Puisqu'il n'y a pas que les hommes qui comptent, parlons quand même de Jaz. Au début du roman, Jaz m'intriguait. J'avais envie de savoir ce qui lui était arrivé pour qu'elle soit dans cet état. Puis au fur et à mesure que les informations arrivaient, Jaz m'intéressait de moins en moins, à la fin je ne me souciais même plus de ce qui pouvait lui arriver. Je ne me suis pas vraiment attachée à elle.
Avec un peu de recul, je me rends compte qu'une partie de l'histoire m'a manquée. Dans le prologue, Jaz apprend qu'elle va travailler avec Vayl. Dans le chapitre 1, ils travaillent ensemble depuis six mois. Je pense que j'aurais été bien plus intéressée par ce qui se passent pendant ces six mois, j'aurais aimé assister au début de leur collaboration.
Je lirai certainement le tome suivant, puisqu'il est déja dans ma PAL, en espérant qu'il me plaise plus que celui-ci. Je n'oublie que j'ai moyennement apprécié le premier tome d'Anita Blake, mais que j'ai fini par l'adorer. J'espère que la même chose se produira avec Jaz Parks.
Pendant l'été, je n'ai pas du tout lu de bit-lit et ca me manquait un peu. Je crois que depuis que je me suis mise à ce genre, je ne suis pas restée un mois sans en lire. Malheureusement, Jaz Parks m'a déçue.
Il y a de l'action, beaucoup d'action tout au long du roman, ce que j'ai apprécié. Le problème c'est, qu'à part ca, peu de choses ont retenu mon attention.
L'histoire était pas mal. Des créatures surnaturelles, des enquêtes, de l'espionnage, des gadgets... tout ca aurait pu me plaire, mais ce ne fut pas le cas, l'intrigue ne m'a vraiment pas passionnée.
Parlons maintenant des personnages. Quand je lis de la bit-lit, en général j'accroche grace à un mâle charismatique : Samuel (et pas Adam !) dans Mercy Thompson, Edward dans Anita Blake, Eric dans La Communauté du Sud, Clay dans Femmes de l'Autremonde ... vous voyez de quoi je veux parler les filles. Mais ici, Vayl ne m'a pas plu du tout, Bergman non plus. A la limite il y a Cole qui n'est pas trop mal, mais pas assez pour m'aider à rentrer dans l'histoire. J'espère le retrouver dans le tome suivant.
Puisqu'il n'y a pas que les hommes qui comptent, parlons quand même de Jaz. Au début du roman, Jaz m'intriguait. J'avais envie de savoir ce qui lui était arrivé pour qu'elle soit dans cet état. Puis au fur et à mesure que les informations arrivaient, Jaz m'intéressait de moins en moins, à la fin je ne me souciais même plus de ce qui pouvait lui arriver. Je ne me suis pas vraiment attachée à elle.
Avec un peu de recul, je me rends compte qu'une partie de l'histoire m'a manquée. Dans le prologue, Jaz apprend qu'elle va travailler avec Vayl. Dans le chapitre 1, ils travaillent ensemble depuis six mois. Je pense que j'aurais été bien plus intéressée par ce qui se passent pendant ces six mois, j'aurais aimé assister au début de leur collaboration.
Je lirai certainement le tome suivant, puisqu'il est déja dans ma PAL, en espérant qu'il me plaise plus que celui-ci. Je n'oublie que j'ai moyennement apprécié le premier tome d'Anita Blake, mais que j'ai fini par l'adorer. J'espère que la même chose se produira avec Jaz Parks.
D'autres avis :
Fée Bourbonnaise, Bulle, Lisalor, Thalia, Galléane, Ethernya, Azariel87, Deliregirl, Mamzellebulle, Vozrozhdenyie, Latite06, Mycoton, Petit-lips, Mallou.
8 commentaires:
Comme toi je lirai le suivant. J'ai trouvé ce T1 un peu brouillon par moment!
J'ai entendu que le 2ème tome était mieux, j'espère comme toi qu'il le sera ;-)
Je crois qu'on va tous lire la suite, soit pour confirmer une bonne impression soit pour se convaincre que non Jaz n'est pas pour nous :)
Quand on y réfléchi bien ces romans de Bit Lit sont construits souvent sur le même schéma et c'est peut-être pourquoi on finit par sans lasser.
Je pense qu'à force de lire de la bit-lit je deviens plus difficile.
Bon je vois que je ne suis pas la seule à ne pas avoir retenue grand chose. Ça me rassure d'un côté.
je te souhaite d'être + transportée par le tome 2 ! il n'est pas dans ma PAL mais je me laisserai tenter
Je pense qu'on devient tous plus exigeant à force et cela n'est pas plus mal au fond.
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